Petit bilan pour ceux qui aiment les chiffres (spéciale dédicace à Karine) :




Après notre premier coup de pédale sur le sol nord-américain, voilà un premier petit bilan en chiffres de notre périple : 

                               



    

  • 1 900 km parcourus avec la plus grande étape de 138 km (stratèges, on avait choisi le jour le plus chaud à 41°c)
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  • 14 278 mètres de dénivelé positif avec la plus grosse étape en dénivelé de 979 D+ (on n’a pas eu les jambes de grimper 21 mètres de plus pour arrondir !). Ah non, en fait aujourd'hui pour notre dernière étape des Rocheuses, on a fait 1001m D+ !
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  • 21 nuits en camping / 7 nuits accueillis chez des Canadiens ou Américains grâce au réseau warmshowers (avec un vrai lit, une vraie douche, de vrais repas !) / 1 nuit accueillis par des Canadiens dans leur jardin quand ils nous ont vus chercher un endroit dans le jardin public pour planter nos tentes / 2 nuits en camping sauvage
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  • 3 jours de vent dans le nez
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  • 3 jours de pluie (dont un orage nocturne qui nous a fait nous réfugier 20 mn dans les douches du camping à 2h du mat’ avec question existentielle d’Elsa : Mais maman tu n’as pas pris le savon…)
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  • Côté mécanique : un ennui de frein sur le vélo de Sylvaine qui s’est auto-réparé (ils sont forts ces vélos allemands) et 4 crevaisons pour Thomas uniquement (Sylvaine ayant bien insisté sur l’option sans crevaison).
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  • 8 jours où on a zappé les cours des enfants (mais natation ça compte aussi pour des cours non ?)
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  • Et déjà un bon paquet de photos prises.
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Côté Ouest-Canadien,


    

  • On a adoré : la promenade des glaciers entre Jasper et Lake Louise, probablement une des plus belles routes à vélo, les animaux sauvages et le vent dans le dos
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  • On a aimé les grands espaces, les lacs aux couleurs tellement incroyables que l’on se dit que c’est encore mieux que chimique, les rencontres, l’intérêt des gens pour nos montures et notre périple, les quelques routes secondaires désertes, les camions qui font systématiquement de leur mieux pour nous dépasser très à gauche, les montées jamais raides et les tartines de beurre de cacahuète…
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  • On a moins aimé les moustiques, les grosses voitures et les burns (sauf Théo qui trouve cela « trop stylé »), les trains qui klaxonnent comme des malades et qui nous font sursauter à toutes les heures de la nuit, les Harley Davidson qui font fuir toute forme de vie sauvage et dont les motards ne sont plus crédibles avec leur soi-disant musique de moteur depuis qu’on les a vus mettre des Boules Quiès pour rouler …
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